Principe de syntaxe :
commande [option1|option2] <argument(s) requis> {arguments ou paramètres facultatifs}
- Alt + F2 et taper gnome-terminal
- CTRL + ALT + Fn où Fn est une des touches F3 à F6, pour basculer dans une console virtuelle.
- CTRL + ALT + F2 pour sortir du mode console virtuelle.
- ALT + Fn pour basculer entre les consoles virtuelles ouvertes
- Revenir directement à la racine : cd /
- Revenir directement à la racine de l’utilisateur local : cd
- Pour créer un nouveau fichier vierge : touch nom_du_fichier
- Pour exécuter un fichier qui n'est pas un exécutable, le faire précéder de “point espace”.
une règle simple :
- Utiliser sudo pour les commandes et les programmes fonctionnant et exécutés depuis le terminal.
- Utiliser gksudo ou gksu pour démarrer un programme graphique avec les droits administrateur
Exemple : Alt + F2 - gksu gedit (ou gksu gedit /chemin/fichier)
Pour rendre la console root permanent :
- Une fois la console ouverte, taper sudo -i
(ou sudo su) + mot de passe de la session courante.
ou
- Alt + F2 et taper gksudo xterm
Tout savoir sur le sudo : http://doc.ubuntu-fr.org/sudo
Commande | Commentaire |
---|---|
ssh <user>@<ip machine> | |
ip a | Donne l'IP de la machine (pas de tiret devant le a) |
logname | Renvoi l'utilisateur en cours |
passwd | Sans option permet de changer son propre mot de passe |
who who -u who -b | Liste les utilisateurs connectés Utilisateur connecté en cours Heure de redémarrage de la machine |
id -u <user> | Renvoi l'identifiant unique de l'utilisateur |
clear / Ctrl+L | Nettoie l'écran |
Date [options] <+format> | |
pwd | Donne l'emplacement dans l'arborescence |
<nom de variable>=“chaine” echo $<nom de variable> unset <nom de variable> env set | Permet de créer une variable Permet de lire le contenu de la variable Efface la variable Visualisation des variables de l'utilisateur Visualisation de toutes les variables d'env. et fonctions |
History !<n° de ligne> | Affiche l'historique le contenu de l'historique des commandes Exécute la ligne <n° de ligne> |
cd / cd ~ / cd $HOME | Ces 3 commandes ramènent sur le répertoire personnel |
cd - | Rejoue la dernière commande cd |
ls -lt ls -lr ls -lrt ls -lR | Liste les fichiers par ordre de date descendant Inverse l'ordre de tri alphabétique Inverse l'ordre par défaut du tri par date Liste le contenu des dossiers de façon récursive |
touch fichier01.txt | Crée le fichier vide “fichier01.txt” |
cat <monFichier> more <monFichier> less <monFicher> head <monFichier> tail <monFichier> tail -n2 -f <monFicheir> | Affiche le contenu du fichier dans son intégralité Affiche le contenu du fichier page par page (espace / q) less = more avec commandes avancées de recherche Affiche les 10 premières ligne d'un fichier Affiche les 10 dernières ligne d'un fichier Permet d'afficher en temps réel les 2 dernières lignes du fichier |
wc [-clmw] <monFichier> | Permet de compter : -l = le nb de lignes -w = le nb de mots -m = le nb de caractères -c = le nb d'octets d'un fichier |
ln -s <cible> <lien> ln <cible> <lien> | Création d'un lien symbolique de <lien> vers <cible> Création d'un lien physique de <lien> vers <cible> |
grep | grep [-eilnv] “expr” <fichier1> (<fichier2>) |
find | find <chemin> [critères de rech] ([action à effectuer sur le résult]) La commande find est nativement récursive. |
rsync [-av] <src> <dest> | -a : mode archive (inclut -r, -l, -p, -t, -g, -o, -D) -r : copie récursive des répertoires -l : copie les liens symboliques -p : préserve les permissions -t : préserve les dates -g : préserve le groupe (mode sudo) -o : préserve le propriétaire (mode sudo) -D : préserve les périphériques (mode sudo) -v : mode verbeux |
whereis | Pour trouver le chemin du fichier exécutable d'une application Exemple : whereis blender ⇒ /usr/bin/blender |
Rechercher un fichier depuis la racine :
find / | grep nomdufichier ou find / -name smb.conf
Rechercher un fichier le dossier courant :
find . | grep nomdufichier find . -name nomdufichier
Rechercher une chaine de caractères dans un fichier :
- depuis la racine : find / -type f -exec grep -l chainecaractère {} \; - depuis le dossier courant : find . -type f -exec grep -l chainecaractère {} \;
Rechercher un fichier de type dossier dont le nom est monDossier et le supprimer de manière récursive :
- depuis le dossier courant : find . -type d -name "monDossier" -exec rm -rf {} \;
Compter le nombre de fichiers (sans compter les dossiers)
ls -lR *|grep ^-|wc -l
Nombre de fichiers du dossier local incluant cachés et contenu des sous-dossiers sans compter les dossiers
find . -type f | wc -l
Nombre de fichiers du dossier local + contenu des sous-dossiers en excluant cachés et les dossiers
find . -type f -not -name ".*" | wc -l
Nombre de fichiers du dossier local en excluant dossiers, sous-dossiers et cachés
find . -maxdepth 1 -type f -not -name ".*" | wc -l
sudo shutdown -h now
(arrêter le pc)
sudo shutdown -r now
(redémarrer le pc)
Lister les services : faire un ls ou un ls -l sur le dossier /etc/init.d
Redémarrer le service Samba : sudo service smbd restart
Monter un disque ou une partition locale :
- Rechercher le matériel (sdc) et la partition à monter (sdc1, sdc2…) : mount ou df -h ou fdisk -l
- Créer un point de montage : sudo mkdir /media/stock
(par exemple)
- Monter le disque : sudo mount -t [type] /dev/sdc2 /media/stock
- Dans le cas d'un format “ext”, le type de fichiers est normalement détecté par la commande mount.
- La commande suivante suffira : sudo mount /dev/sdc2 /media/stock
- Dans le cas d'un format FAT ou NTFS il faudra remplacer [type] par vfat (Fat32) ou ntfs-g3 (NTFS)
- sudo umount /media/stock
Monter un répertoire local sur un répertoire distant :
sudo mount -t cifs -o noperm //adresseIP/dossier /media/docs
sudo mount -t cifs -o "username=nomUserAdmin",guest,iocharset=utf8,file_mode=0777,dir_mode=0777 //adresseIP/dossier /media/docs
sudo mount -t cifs -o "username=nomUserAdmin",rw,iocharset=utf8,file_mode=0777,dir_mode=0777 //adresseIP/dossier /media/docs
sudo mount -t cifs -o "username=nomUserAdmin",rw,uid=1000,iocharset=utf8,file_mode=0777,dir_mode=0777 //IP_freebox/disque\ dur/dossier /media/freebox
Démonter le répertoire local sur lequel a été monté un répertoire distant :
sudo umount /media/docs
Monter une clé USB :
- Rechercher le matériel (sdb) et la partition à monter (sdb1, sdb2…) : mount ou df -h ou fdisk -l
- Créer un point de montage : sudo mkdir /media/disk
(par exemple)
- Monter la clé : sudo mount /dev/sdb1 /media/disk
(mount -t vfat /dev/sdb1 /media/disk
pour préciser le système de fichier FAT)
- sudo umount -f /media/disk
Copier un fichier vers le dossier monté précédement :
- cp /opt/virtual_Machine/Osiris.vmdk /media/disk
Copier tout le contenu d'un dossier vers le dossier monté précédement :
- cp -rv /opt/virtual_Machine/osiris/ /media/disk
cat /etc/os-release
hostnamectl
cat /etc/lsb-release
lsb_release [-d|-a|-ds]
(si paquet lsb_release installé)cat /etc/redhat-release
–> spécifique Red Hatcat /etc/SuSe-release
–> spécifique Susecat /etc/issue
–> spécifique Debianuname [-a|-r]
hostname
hostname -I
http://doc.ubuntu-fr.org/materiel
http://doc.ubuntu-fr.org/connaitre_son_materiel
sudo lshw
sudo lscpu
cat /proc/cpuinfo
lsusb
iwconfig
sudo blkid
gstreamer-properties
free -m
/etc/apt/sources.list
/etc/fstab
df -h
lsblk
cd /etc/ini.d
+ ls
sudo lshw -C network
lspci -knn | grep Network -A3
nmcli dev wifi
rfkill list
sudo rfkill unblock all
nmap
…Avant un reboot hard de la machine :
ps aux |grep [nom de l'appli qui plante]
(ou ps -ef|grep [nom de l'appli qui plante]
)kill -9 <PID>
ps -ef
(fonctionne si les paquets “links” et “sox” sont installés (par défaut sur Ubuntu))
- sudo mii-tool eth0
: permet de vérifier si la carte réseau est bien connectée (réponse link ok
si active)
Si la carte réseau ne porte pas le nom eth0
on peut rechercher dans les messages de démarrage du noyau le changement de nom avec la commade suivante : dmesg | grep “eth”
- Si la carte wifi est active et que l'on est sûr qu'il y a des réseaux, la commande iwlist scan
doit renvoyer des réseaux sinon c'est que la carte est désactivée.
- La commande route -n
permettra de déterminer l'IP de la box.
netstat -taupen
(affiche la liste des ports occupés)
Pour vider le cache DNS et le recharger (équivalent ipconfig /flushdns)
sudo /etc/init.d/dns-clean start
sudo /etc/init.d/dns-clean restart
sudo /etc/init.d/dns-clean force-reload
Pour importer une clé de signature, voir didacticiel
http://doc.ubuntu-fr.org/tutoriel/comment_modifier_sources_maj
Pour modifier l'orientation EXIF d'un fichier jpeg
- jpegexiforient -1 … -8 nomdufichier.jpg
Dans une ligne de commandes, le | sert à imbriquer les commandes les unes à la suite des autres dans le but de faire traiter par la commande suivante le résultat de la commande précédente.
Utiliser le ; si l’on veut faire suivre plusieurs commandes indépendantes.
&& = AND
|| = OR
\ ; = met fin à une ligne de commandes
Pour exécuter en ligne de commande un fichier qui n’est pas un exécutable, le faire précéder de “point espace”.
Pour lire le niveau de gestion avançé de puissance pour le disque dur :
sudo hdparm -I /dev/sda | grep power
Pour régler un niveau de gestion de puissance pour le disque dur (255 désactive le parcage des têtes) :
sudo hdparm -B 255 /dev/sda
APT est un projet relativement vaste, qui prévoyait à l'origine une interface graphique. Il repose sur une bibliothèque contenant le cœur de l'application et apt-get est la première interface — en ligne de commande — développée dans le cadre du projet. apt est une deuxième interface en ligne de commande fournie par APT qui corrige quelques erreurs de conception de apt-get.
De nombreuses interfaces graphiques sont ensuite apparues en tant que projets extérieurs : synaptic (interface graphique), aptitude (qui inclut à la fois une interface en mode texte et une interface graphique, bien que pas encore complète), wajig, etc. Le frontal le plus recommandé est apt. A noter cependant que les syntaxes en ligne de commande d'aptitude et d'apt-get sont très similaires (source).
Fichier des dépôts : /etc/apt/sources.list (éditer le fichier sources.list : apt edit-sources
)
Les commandes suivante s'exécutent en root
Mise à jour de la liste des paquets disponibles : apt update
Installer les dernières versions de tous les paquets : apt upgrade
ou apt full-upgrade
(La commande full-upgrade remplit la même fonction que upgrade mais peut aussi supprimer des paquets installés si cela est nécessaire pour résoudre un conflit entre des paquets.)
Installer un nouveau paquet : apt install <paquet>
Supprimer un paquet : apt remove <paquet>
Désinstaller les paquets indiqués avec leurs dépendances logicielles : apt autoremove <paquet>
Supprimer un paquet et ses fichiers de configuration : apt purge <paquet>
Désinstalle les paquets indiqués, les dépendances logicielles et leurs fichiers de configuration :
apt autoremove --purge <paquet>
Sans nom de paquet, désinstalle toutes les dépendances devenues inutiles et leurs fichiers de configuration :
apt autoremove --purge
Trouver des informations sur un paquet (installé ou pas) : sudo apt show <nom_du_paquet>
Utiliser apt pour trouver un paquet installé : sudo apt list –installed | grep <nom_du_paquet>
Rechercher l’existence d'un paquet avec dpkg : sudo dpkg -l | grep <nom_du_paquet>
- Indique la version si le paquet est installé : apt-cache policy <nom_du_paquet> | grep Installé
- Donne le status du paquet (installé ou pas) : dpkg -s <nom_du_paquet> | grep Status
Supprime la totalité des paquets d'installation présents dans /var/cache/apt/archives : apt clean
Possibilité de cumuler plusieurs commandes :
apt update && apt full-upgrade && apt autoremove --purge
sudo apt autoremove && sudo apt clean
Pour lister les dépôts PPA présents sur votre système :
ls -l /etc/apt/sources.list.d/
Pour avoir le détail de tous les dépôts (PPA ou non) en une seule fois :
grep -Enrv --include='*.list' --include='*.sources' '^#|^$' /etc/apt
Ajout d'un PPA aux sources logicielles :
sudo add-apt-repository ppa:<nom_du_dépôt> sudo apt update
snap list : liste toutes la applis SNAP installées snap list --all : Lister toutes les versions installées des Snap (y compris celles désactivées) snap refresh --time : Vérifier si des mises à jour sont disponibles sans les installer sudo snap refresh : mettre à jour tous les Snap installés sudo snap refresh <nom_du_package> : mettre à jour un seul package Snap spécifique
flatpak list : liste toutes la applis Flatpak installées
Installation de ffmpeg et liste des codecs disponibles :
sudo apt update sudo apt install ffmpeg ffmpeg -encoders ffmpeg -decoders ffmpeg -formats ffmpeg -codecs
Vérifier la version de ffmpeg
ffmpeg -version
Exemple de conversions basiques :
ffmpeg -i input.mp4 output.webm ffmpeg -i VideoFreebox.m2ts VideoFreebox.mp4 --> lisible sur tous supports
Exemple de conversion plus complexe qui converti un fichier mts en avi :
ffmpeg -i input.mts -vcodec mjpeg -b 100M -acodec pcm_s16be output.avi
Exemple de conversion d'une vidéo x265 en Xvid/mp4 compatible Freebox :
ffmpeg -i input.mkv -map 0:v -map 0:a -c:v libxvid -qscale:v 10 -c:a copy output.mp4
Sources :
Lister les utilisateurs ou les groupes :
compgen -u compgen -g
Lister les groupes d'un utilisateur :
id <nom_user> groups <nom_user>
Lister les membres d'un groupe :
getent group <nom_group>
Lister les connexions en cours sur le serveur :
who -u users w
Fermer une session utilisateur via la console :
sudo skill -KILL -u utilisateur
Pour fermer un terminal dont la connexion a été perdue (ssh par exemple)
Identifier la console à fermer :
~$ w 11:54:31 up 15 days, 21:34, 6 users, load average: 0,00, 0,00, 0,03 USER TTY FROM LOGIN@ IDLE JCPU PCPU WHAT ubuntu tty1 - 24oct.23 15days 0.45s 0.16s -bash ubuntu pts/0 - 24oct.23 15days 0.04s 0.25s sudo su bhervoue pts/1 10.220.100.58 08:57 2:56m 0.72s 0.09s sshd: bhervouet [priv] bhervoue pts/2 10.220.100.58 08:57 29:03 0.66s 0.69s sudo su - friche pts/3 10.185.124.75 11:02 1.00s 0.13s 0.00s w friche pts/4 10.185.124.75 11:50 4:17 0.02s 0.02s -bash
La commande w permet de visualiser les utilisateurs connectés et la commande en cours d'exécution. Dans l'exemple ci-dessus, je suis donc actuellement connecté sur 2 terminaux pts/3 & pts/4. On voit également que la commande w a été exécutée sur le terminal pts/3 et que le terminal pts/4 est inactif depuis 4 min et 17 sec. Il faut donc fermer le terminal pts/4.
Identifier le processus lié au terminal à fermer pts/4
ps -ef | grep friche@pts/4 | grep -v grep friche 91990 91929 0 11:50 ? 00:00:00 sshd: friche@pts/4
Le terminal pts/4 est donc lié au processus 91990.
Fermer le terminal :
kill -s 9 91990
Créer un nouvel utilisateur :
sudo adduser <nom_new_user>
Ajouter un utilisateur à un groupe :
sudo adduser <nom_user> <nom_group> sudo usermod -aG <nom_group> <nom_user>
Supprimer un utilisateur d'un groupe :
sudo deluser <nom_user> <nom_group>
Supprimer un utilisateur du système :
sudo userdel -r <nom_user> sudo deluser --remove-home <nom_user>
Modifier un (ou son) mot de passe
sudo passwd <nom_user>
Saisir deux fois le nouveau mot de passe et le confirmer.
Pour vérifier si cron est en cours de fonctionnement exécuter la commande suivante :
ps aux | grep cron
La commande doit retourner au minimum une ligne de ce style :
root 617 0.0 0.0 9420 2800 ? Ss 17:00 0:00 /usr/sbin/cron -f
Si la commande ne renvoie rien c'est que cron n'est pas démarré ou pas installé.
Installation rapide de cron sous Ubuntu :
sudo apt update && sudo apt install cron
Une fois installé, pour être sûr que le service soit lancé au démarrage du serveur, exécuter la commande suivante :
sudo systemctl enable cron
Voici quelques-unes des commandes de base :
crontab -e —> pour créer et modifier un fichier crontab. crontab -l —> pour consulter les tâches planifiées de l'utilisateur courant. crontab -r —> pour supprimer les fichiers crontab. sudo crontab -u utilisateur -e —> pour modifier le fichier crontab d’un autre utilisateur avec un accès super-utilisateur. sudo crontab -u utilisateur -l —> pour consulter les tâches d’un autre utilisateur. crontab -a nom_du_fichier —> pour installer le nom_du_fichier sous forme de fichier crontab (sur certains systèmes, -a n’est pas nécessaire).
Pour créer une tâche Cron, le plus simple dans un premier temps est d'éditer le fichier de tâches Cron par la commande
crontab -e
Cette commande édite le fichier de tâches Cron de l'utilisateur courant. Chaque utilisateur a ses propres taches Cron, et donc son propre fichier de taches Cron.
Dans ce fichier chaque ligne correspond à une tache, et chaque ligne est composée de 5 champs séparés par des espaces.
Voici un exemple de tâche Cron qui exécute un script PHP pour la régénération de la table annuaire
Toutes les heure à partir de 7h30, de 7h à 20h, de lundi à vendredi :
# Génération de l'annuaire toutes les heures 30 7-20/1 * * mon,tue,wed,thu,fri /usr/bin/php /var/www/annuaire/generation_annuaire.php
Définition des entrées :
* * * * * /home/user/bin/somecommand.sh | | | | | | | | | | | Commande ou Script à exécuter | | | | | | | | | Jour de la semaine(0-6 | Sun-Sat) | | | | | | | Mois(1-12) | | | | | Jour du mois(1-31) | | | Heure(0-23) | Min(0-59)
Caractères appropriés à utiliser dans chaque fichier crontab :
Pour aller plus loin…
* * * * * nom_utilisateur /bin/touch /home/me/ding_dong
sudo crontab -e